1895-2021: Des artistes au Technicum

Au moment de nous lancer dans la rédaction de l’histoire de l’École, nous étions loin de nous douter des liens, pourtant si étroits, qui existaient entre les Beaux-Arts fribourgeois et le Technicum. Depuis ses débuts, l’École a bénéficié de l’enseignement de nombreux artistes – Ferdinand Hodler, Oswald Pilloud, Ferrucio Garopesani, etc. – dont les conseils avisés ont formé l’œil des apprentis techniciens, notamment au sein de la section des arts décoratifs créée en 1902. Au fil du temps, le Technicum a également formé des artistes. Un phénomène de filiation se met en place au sein du corps professoral à mesure que les anciens élèves deviennent professeurs à leur tour.

L’aventure continue. Sculpteur et plasticien, Claude Magnin a enseigné le dessin et l’expression plastique de 1988 à 2016 au sein de la filière d’architecture. Aujourd’hui, Virginia Muro, peintre et céramiste, est chargée de cours à la filière d’architecture.

Virginia Muro. Bailarina, 2007, huile sur toile.
Copyright : Musée d’art et d’histoire Fribourg

Ce chapitre complète celui que nous avons publié sur ce blog il y a quelques mois sous le titre : «Le dessin, langage de l’ingénieur». Nous y brossons le portrait des artistes qui ont œuvré au sein du Technicum.

Ferdinand Hodler (a enseigné de 1897 à 1900), Oswald Pilloud (1902-1932) et Antoine Claraz (1938-1956)

Ferdinand Hodler. Taureau fribourgeois dans un paysage, 1878-1880, huile sur toile.
Copyright : Musée d’art et d’histoire Fribourg

La succession de Ferdinand Hodler, Oswald Pilloud et Antoine Claraz est un excellent exemple des relations filiales qui ont pris forme au Technicum.

A la fin du XIXe siècle, Hodler ne connaît pas encore le succès qui l’a rendu célèbre. Le peintre bernois de 44 ans, qui sera admiré des plus grands artistes de son époque – Klimt, Rodin et Kandisky – rejoint le Technicum en 1897 sur invitation du directeur Léon Genoud. Il y dispense deux unités de peinture par semaine, qui portent sur «l’étude des formes, des couleurs et aussi des figures»[1]. La plupart de ses élèves sont issus de familles patriciennes, membres de la Société fribourgeoises des amis des Beaux-Arts. D’autres sont d’origine plus modeste, à l’image du Veveysan Oswald Pilloud.

Oswald Pilloud. Chaîne du Vanil-Noir, 1ère moitié XXe siècle, huile sur toile.
Copyright : Musée d’art et d’histoire Fribourg

Né à Châtel-Saint-Denis en 1873, Oswald Pilloud fréquente le Technicum de 1896 à 1899. Après avoir exercé en tant que ferblantier aux côtés de son père, il rejoint Paris, encouragé par son ancien professeur, pour poursuivre sa carrière de peintre. Dans la capitale française, il suit différents cours au sein de l’Académie de la Grande Chaumière et de l’Académie Colarossi[2]. À la suite de différents voyages, il est engagé au Technicum, où il enseigne la composition décorative, la peinture, l’aquarelle et le dessin à vue. Ses heures de cours sont nombreuses et ne lui permettent pas d’honorer ses commandes, pour lesquelles le peintre doit demander des congés exceptionnels.

Antoine Claraz. Tête d’italienne, 1951, bronze.
Copyright : Musée d’art et d’histoire Fribourg

Antoine Claraz, né à Fribourg en 1909, a été élève au Technicum, où il a suivi des leçons de peintures dispensées par Pilloud. À son tour, le peintre-sculpteur enseigne également à l’École. Il enseigne le dessin à vue au Technicum de 1938 à 1955.

Konrad Schläpfer (1896-1913)

Né à Wald dans le canton d’Appenzell-Extérieur, Konrad Schläpfer entre au Technicum de Winterthur pour suivre des études de maître de dessin. Il rejoint ensuite la capitale française pour affiner son coup de crayon au sein de différents ateliers. En 1896, il est de retour à Fribourg: «C’est de là qu’il vint à Fribourg, appelé par la direction du Musée industriel, qui organisait en ce moment l’École de Métiers. Schläpfer arriva dans notre ville le 14 janvier 1896, jour de l’ouverture de l’École de Métiers, qui devint, trois ans plus tard, le Technicum, et y donna immédiatement son premier cours.» Konrad Schläpfer s’intègre rapidement à la société fribourgeoise, où il œuvre considérablement pour le développement de la formation professionnelle, dans le sillage de la loi cantonale sur l’apprentissage de 1895.

Eugène de Weck (1900-1912)

Eugène de Weck. Le pont de Zähringen à Fribourg, 1993, huile sur toile.
Copyright : Musée d’art et d’histoire Fribourg

Né en 1872 à Fribourg, Eugène de Weck a enseigné le dessin au Technicum des 1900 à sa mort en 1912. «Membre de l’Académie des beaux-arts de Düsseldorf (1896) […]»[3], il enseigne aussi au collège Saint-Michel de 1909 à 1912. «Sur mandat de son canton, Eugène de Weck dirigea de 1903 à 1910 la restauration des peintures murales lors de la rénovation de l’abbaye cistercienne d’Hauterive. Il restaura également d’autres fresques dans des églises de la campagne fribourgeoise. À partir de 1900, il exposa à plusieurs reprises à Fribourg et à Genève ses paysages des Préalpes fribourgeoises, inspirés de l’impressionnisme français. Cofondateur en 1899 de la section fribourgeoise de la Société des peintres, sculpteurs et architectes suisses.»[4]

Ampellio Regazzoni (1903-1931)

Ampellio Regazzoni est un sculpteur tessinois, né en 1870 à Chiasso, dont la plupart des œuvres sont de sujet religieux. Après divers remplacements, en 1903, il s’installe définitivement à l’École succédant à Cesare Berra, décédé à la suite d’une courte maladie. Ampellio Regazzoni n’était néanmoins pas inconnu à Fribourg:

«M. Regazzoni était déjà connu de chez nous par son Tailleur de pierre, acheté par la Confédération et déposé au Musée artistique de Fribourg».[5]

Son décès, survenu brutalement en 1931, porte sa collaboration avec le Technicum à son terme.

Henri Robert (1904-1950)

Henri Robert. Bouquet de zinnias, 1ère moitié XXe siècle, pastel.
Copyright : Musée d’art et d’histoire Fribourg

«De tous les peintres fribourgeois contemporains, il en est un qui obtient le maximum des faveurs du public, et c’est M. Henri-Marcel Robert. A l’apogée de sa carrière artistique, il est resté simple, courtois toujours, et serviable au possible. C’est un homme de bon caractère et c’est un peintre parfaitement estimable.»[6]

Henri-Marcel Robert est un peintre, graveur et professeur de dessin français. Il naît à Paris, dans l’idyllique quartier de Monmartre, en 1881. En 1904, il rejoint le Technicum en tant que maître de dessin.

«Il enseigne avec amour un art qui est toute sa raison d’être; il nous réjouit l’esprit et la vue d’œuvres où chantent la lumière et la beauté des choses de la nature; il nous séduit et nous subjugue par la vertu de son talent et la bonté de son art. Oui, vraiment, M. Henri-Marcel Robert est peintre et graveur bien précieux au pays de Fribourg.»[7]

Le Fribourgeois d’adoption, qui avait acquis la bourgeoisie en 1934, meurt à Lausanne en 1961. Trente ans plus tard, à l’occasion d’une exposition du Musée d’Art et d’Histoire de Fribourg, La Liberté revient sur son œuvre: «Peintre (des enfants et des fleurs), il développa une œuvre artistique d’un important volume. Dessinateur attentif, il réalisa de nombreuses estampes et notamment des vues de Fribourg et de sa Vielle-Ville.»[8]

Jean Berchier (1909-1953)

Jean Berchier naît en 1886 à Vevey. Il y réalise, au terme de son école obligatoire, un diplôme au Collège industriel. En 1902, il poursuit ses études au Technicum de Fribourg, au sein de la section des Arts industriels. Se doutait-il que sept ans plus tard, il y enseignerait? Avant ça, il perfectionne son art au sein de grandes villes européennes, avant de rentrer à Fribourg:

«Il débuta à Fribourg dans l’enseignement à l’École secondaire professionnelle et, le 12 octobre 1909, le Conseil d’État le nomma professeur au Technicum. Il allait lui confier aussi l’enseignement du dessin à l’École normale d’Hauterive. C’est donc durant quarante-quatre ans qu’il mit son savoir et son dévouement au service du Technicum, où il enseigna le dessin à vue et le dessin d’ornement, la calligraphie, la lettre, les projections, la perspective, le tracé d’ombres, la méthodologie du dessin. Il publia même en 1933 un traité de perspective très apprécié.»[9]

En 1953, trois des plus anciens professeurs du Technicum demandent à être admis aux droits de la retraite: Oscar Cattani, Paul Gerber et Jean Berchier. Trois ans plus tard, il décède subitement d’une crise cardiaque.

Oscar Cattani (1915-1958)

Oscar Cattani. Descente de croix, entre 1940-1960, aquarelle.
Copyright : Musée d’art et d’histoire Fribourg

En 1915, nommé par le conseil d’État, Oscar Cattani rejoint le Technicum. Né à Stans en 1860, l’artiste multiplie les casquettes: peintre, portraitiste, peintre-verrier, mosaïste, graveur, etc. De 1915 à 1953, il enseigne la peinture décorative et l’histoire de l’art au sein de la section des arts décoratifs. Dans le rapport de l’année 1915-1916, l’École salue le travail de l’artiste:

«Les peintres ont beaucoup travaillé et ont fait, sous la direction de M. le Professeur Cattani, de réjouissants progrès.»[10]

Théo Aeby (1931-1965)

Théo Aeby. Buste de Georges Python, 1927, plâtre.
Copyright : Musée d’art et d’histoire Fribourg

Saviez-vous que c’est un futur professeur du Technicum, qui en 1904, a l’idée d’organiser la célèbre course Morat-Fribourg? Théo Aeby, 21 ans, propose d’honorer, par cette course, l’histoire du célèbre messager:

«Ce […] parcours rappelle l’exploit du  messager qui aurait couru de Morat à Fribourg pour annoncer la défaite du Duc de Bourgogne, une branche de tilleul à la main. Il serait mort à son arrivée et le tilleur aurait pris racine.»

Le Fribourgeois naît en 1884, à St-Silvestre (Singine). A la mort de leur père, lui et ses neuf frères et sœurs rejoignent la capitale, où le jeune Théo fréquente la section artistique du Technicum. En 1931, il y devient professeur:

«C’est en 1931 que Théo Aeby succéda au regretté Ampellio Regazzoni, de Balerna – auteur notamment, de la statue de Philibert Berthelier, en Ile, à Genève – au Technicum cantonal de notre ville. Il y reprit ses cours de modelage et d emoulage; il enseigna dans cette maison jusqu’en juillet de cette année-ci [ndlr: 1965]. Sept lustres d’enseignement: c’est dire combien d’artiste il a suivis, combien de générations il a formées au goût du beau.»[11]

Son enseignement au sein du Technicum était remarquable:

«Comme il possédait au demeurant parfaitement son métier, la section de modelage fit, sous sa responsabilité, de grands progrès. Il enseignant l’exécution des sculptures selon les modèles de l’Antiquité; la composition était libre pour les élèves avancés. Il eut souvent la joie d’obtenir chez ses disciples des résultats très réjouissants.»[12]

Auguste Rody (1951-1985)

Il existe peu d’informations sur le peintre fribourgeois Auguste Rody. En 1990, La Liberté accordait un article à l’exposition posthume de cet «artiste discret»[13]:

«La galerie de la Clé du Pays nous révèle un peintre inconnu dont l’œuvre diverse est vrillée autour de ses successives admirations pour les maîtres du XXe siècle, un peintre discret qui n’a jamais exposé dans son canton, un talent secret qui s’est cherché aussi dans la sculpture, ainsi qu’en témoigne une réalisation à Cugy.»[14]

Né et mort à Fribourg, Auguste Rody obtient son diplôme de maître de dessin. Il enseignera durant plus de trente ans au Technicum (1951-1985). Le dessin d’abord, puis, lorsque la section des arts décoratifs disparaît, la géométrie aux classes alémaniques.

Marcel Hayoz (1956-1993)

Marcel Hayoz. Vue d’Hinterkappelen, 1997, sérigraphie en couleur.
Copyright : Musée d’art et d’histoire Fribourg

Après une enfance vécue à Guin, Marcel Hayoz rejoint la section des arts décoratifs du Technicum. Il y suit les cours des professeurs Oscar Cattani, Henri Robert, Théo Aeby et Antoine Claraz. À son tour, il enseigne le dessin (projections, perspective, tracé d’ombres, dessin à vue) au Technicum, de 1956 à 1993. Tout comme Auguste Rody, Marcel Hayoz est décrit comme un artiste discret, dont «la création artistique» l’accapare. En 1969, Fribourg Illustré lui accorde un portrait dont voici un extrait:

«Le tape-à-l’œil n’est pas l’affaire de l’artiste fribourgeois que présente aujourd’hui Fribourg-Illustré. Peintre et sculpteur, approchant de la quarantaine, vivant retiré, n’arborant même pas le nœud papillon redevenu à la mode, Marcel Hayoz se distingue de prime abord par sa modestie. C’est sur l’art et ses problèmes, non sur des futilités que se concentrent ses recherches […] Les démarches artistiques de Marcel Hayoz rappellent le fabuleux labeur des fourmis, d’où résulte la joie, comme la chanson invisible mais omniprésente des cigales qui cornetent dans leurs retraites.»[15]

Ignace Ruffieux (1956)

Le Fribourgeois Ignace Ruffieux est un artiste qui se distingue tant par son coup de crayon que par son oreille musicale. Au Technicum, il n’enseigna qu’une année, en 1956. Le Fribourg Illustré précise: «L’un de ses fils, M. Ignace Ruffieux, est dessinateur diplômé du Technicum cantonal de Fribourg, et il se distingue également par ses initiatives musicales. Il est directeur du Petit Chœur de notre capitale (un ensemble vocal qui a déjà conquis toutes sortes de lauriers en  public) et il dirige non moins bien la Chorale de nos policiers et gendarmes.»[16]

Ferruccio Garopesani (1973-1980)

Ferruccio Garopesani. Hameau provençal, 1981, huile sur toile.
Copyright : Musée d’art et d’histoire Fribourg

Ferruccio Garopesani naît à Milan, le 6 octobre 1914. A Fribourg, en Basse-Ville, il est surnommé Garo. «De son Italie d’origine, l’artiste peintre a gardé la chaleur des tons et la facilité du trait, acquise dans les prestigieuses académies de Milan et de Bergame. Après être monté à Paris, il a découvert la Suisse au milieu des années 1950, s’est installé d’abord à Lausanne, puis à Leysin, avant de poser son chevalet à Fribourg.»[17]

Selon Michel Terrapon, ancien conservateur du Musée d’Art et d’Histoire fribourgeois, Ferruccio Garopesani représente l’archétype de l’artiste:

«Tout chez Garopesani portait l’image que se fait le peuple d’un artiste: le talent de pouvoir tout faire sans efforts apparents, savoir se moquer des conventions, apporter la bonne humeur, avoir le sens de la fête, être le messager de la lumière et d’un certain bonheur au travers d’images comme la femme, le couple, les paysages du Sud.»[18]

Le rapport annuel du Technicum de l’année scolaire 1979-1980 revient sur son départ:

«La rentrée scolaire de l’automne 1980 se ressentira aussi de l’absence d’un professeur auxiliaire dont tout le monde a pu apprécier le talent et la bonne humeur. Atteint par la limite fatidique des soixante-cinq ans, Monsieur Ferrucio Garopesani, artiste-peintre, a souhaité être déchargé totalement de son enseignement. Depuis 1962, M. Garopesani a donné, le soir, des cours de peinture qui ont connu un très grand succès; à partir de 1964, il s’est également efforcé de communiquer son talent et son enthousiasme aux futurs architectes qu’il a initiés et perfectionnés dans l’art du dessin à vue. Si la renommée de M. Garopesani s’étend bien au-delà de nos frontières, notamment en France où il a réalisé quelques œuvres de grande valeur et où il a récolté plusieurs médailles à l’occasion d’importantes expositions, ses qualités pédagogiques ont également été récompensées par le succès de certains de ses anciens élèves qui ont pu, grâce à son enseignement, suivre le même chemin que lui.

Que Monsieur Garopesani soit vivement remercié pour son travail de qualité qui laissera un souvenir lumineux dans notre École.»[19]

Plusieurs peintres importants de l’histoire de l’art fribourgeois ont également été formés au Technicum. En voici deux exemples:

Armand Marius Niquille

Armand Niquille naît à Fribourg, le 30 mars 1912. «Enfant illégitime, [il] créera une œuvre picturale marquée par le secret de ses origines et portée par ses questionnements intérieurs.»[20] En 1927, en dépit de ses difficultés matérielles, le Fribourgeois rejoint le Technicum où il débute une formation artistique. Il y suivra l’enseignement des grands peintres fribourgeois Oswald Pilloud, Oscar Cattani ou encore Henri Robert.

«Cette formation sera complétée par la fréquentation rapprochée du patrimoine artistique de la région, grâce à une activité de restaurateur d’art, exercée en collaboration avec son épouse: «En redonnant aux œuvres d’autrefois leur vigueur primitive, Niquille a sondé les secret de leurs auteurs, son propre métier s’est enrichi de procédés […] Ainsi le peintre a fréquenté constamment l’atelier imaginaire des maîtres fribourgeois […]»»[21]

En 2007, la Fondation Armand Niquille a confié à la BCU de Fribourg le mandat d’inventorier et de conserver les archives de l’artiste. Ce dernier, réunissant correspondances, écrits, photographies, etc, est ouvert au public.[22]

Teddy Aeby

Teddy Aeby est un graveur, dessinateur, peintre et professeur de dessin fribourgeois. En 1948, il obtient un diplôme de dessinateur en arts graphiques au sein du Technicum de Fribourg. Il séjourne ensuite à Paris quelques mois, fréquentant l’Académie Paul Colin. De retour à Fribourg en 1950, il travaille comme artiste indépendant. Il réalise notamment la nouvelle église de Cottens, en 1958 et la caserne de la Poya à Fribourg. Après un bref séjour en Allemagne où il réalise différents décors pour des émissions et films, il rentre à la capitale fribourgeoise où il partage son quotidien entre dessins, graphisme, gravure et peinture.[23]

Découvrez le blog en PDF, actualisé au fil des publications : https://125.heia-fr.ch/livre-historique


[1] Hodler, Ferdinand, et al., Hodler und Freiburg : die Mission des Künstlers : Ausstellung im Museum für Kunst und Geschichte in Freiburg, 11.6 – 20.9.1981 : [Katalog] = Hodler et Fribourg : la mission de l’artiste : exposition au Musée d’art et d’histoire de Fribourg, 11.6 – 20.9.1981 : [catalogue]. Benteli Verlag, 1981, p. 11

[2] Durrusel, Monique, «Le trop méconnu Oswald Pilloud», La Liberté, le 24 août 2013, en ligne, url: https://www.laliberte.ch/news/magazine/le-trop-meconnu-oswald-pilloud-17056

[3] Freivogel, Thomas: « Weck, Eugène de », in: Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), version du 12.02.2013, traduit de l’allemand. Online: https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/031019/2013-02-12/, consulté le 20.07.2021.

[4] idem

[5] Rapport annuel 1903

[6] Fribourg illustré, décembre 1948

[7] Idem

[8] La Liberté, le 12 octobre 1991

[9] La Liberté, le 24 mars 1956

[10] Rapport annuel 1915-1916

[11] La Liberté, le 23 décembre 1965

[12] Idem

[13] La Liberté, le 17 avril 1990

[14] Idem

[15] Fribourg Illustré, janvier 1969, en ligne, url: https://doc.rero.ch/record/328983/files/Fribourg_illustre_257_1969.pdf

[16] Fribourg illustré, juin 1950

[17] http://www.bloglagruyere.ch/2014/10/09/le-fribourg-simplement-beau-de-garopesani/

[18] La Liberté, le 12 décembre 1985

[19] Rapport annuel du Technicum, 1979-1980

[20] https://www.armand-niquille.ch/biographie/

[21] Roland Ruffieux (1966) cité in Armand Niquille [et al.]. Des réalités aux symboles et aux images de la foi. Textes réunis par Etienne Chatton. Fribourg: Fragnière, 1989, p. 136

[22] https://www.armand-niquille.ch/biographie/

[23] https://fr.wikipedia.org/wiki/Teddy_Aeby