Au début du XXe siècle, la formation professionnelle des femmes en est à ses balbutiements. En adéquation avec les travaux du pédagogue Pestalozzi, la jeune fille, tenue hors de l’espace public, doit être formée à sa profession « naturelle », celle de mère et de ménagère. Fribourg observe alors la mise en place de différentes institutions dispensant des cours dits typiquement « féminins ». Le Technicum s’inscrit dans ce mouvement en inaugurant, en 1902, une section féminine à Jolimont. Les élèves peuvent y apprendre la taille, la broderie, la couture et le dessin.
Découvrez le blog en PDF, actualisé au fil des publications : https://125.heia-fr.ch/livre-historique